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J’arrive devant mon ordinateur ce soir, et je vois que ma chère A* m’a fait tout un roman. Je le lis, ce fut tellement émouvant.. Tant de paroles parlant de nous deux m’émeu, tant de souffrance qu’elle endure qui me blesse et que je comprends tout à fait. Derrière cette apparence qu’elle veut donner, je décelais dans son regard un mal-être que je ne pouvais préciser. On a parlé , l’une de l’autre, et encore une fois , j’eu fini par tremper ma manche droite pour essuyer mon chagrin. Descendant ma souris je vu l’icône de la conversation avec monsieur A* qui ne me répondait toujours pas depuis ce matin. Il devait sûrement être avec sa bien aimée.

Alors je m’y l’album de Pascal Obispo, et me mis à penser à mon frère, à cette future sœur qui va arrivé. Et puis à mon avenir. Encore et toujours.

Et puis je vis l’icône de A* clignoté . Elle partait..

Peu de temps après c’était celui de Mr A* qui s’éclaira, suivit d’un wizz. A peine un « salut ça va » et il avait compris. Extraordinaire il l’est . Tout en lisant ce qu’il me disait , je voyais flou entre les larmes qui montés puis descendaient le long de mes joues . Il me demandait ce que j’avais réellement. Le pourquoi de mon état. Il me connaît et sait que je ne suis pas comme ça, que je ne me laisse pas aller aussi bas pour rien. Il n’a pas tord, je me suis toujours battue, et je m’en suis toujours sortie , ce n’est pas maintenant que je dois baisser les bras. Le voilà partit avec cette phrase que j’aime tant . Lorsqu’il me dit que si j’ai besoin il redescend de son lit et vient me parler. Pourtant il connaît très bien ma réponse. Je lui dirais que tout ira bien , et que je lui souhaite une excellente nuit tout en pensant à sa chérie. Je ne suis certainement pas la fille qui montre le plus ce qu’elle ressent. Mais je pense que là il a compris. Et à quel point je le remercie .

Maintenant je me dis que je dois à tout pris me relever et partir à la recherche de tout ce que j’ai pour m’en sortir.

Une soirée forte en émotion concluais-je en voyant le « bisous je t’aime » de monsieur A* qui me fit un coup de froid et de chaud dans le dos. Il avait réussi à voir où j’avais mal , ce que j’avais et même comment me remonté le moral.

Lola .